Comme à l’accoutumée, Jacques et moi dégustions un express au célèbre « café du coiffeur » où il est notifié, détail amusant, qu’« on peut apporter son manger ». Coutume en perdition hélas ! Nous goûtions la tranquillité de ce petit bistrot de village. Notre couple abandonnait cet endroit plein de charme pour déambuler dans cet environnement d’une autre époque.
jeudi 10 mars 2011
FLANERIE A BEUVRON-SUR-AUGE (3)
Comme à l’accoutumée, Jacques et moi dégustions un express au célèbre « café du coiffeur » où il est notifié, détail amusant, qu’« on peut apporter son manger ». Coutume en perdition hélas ! Nous goûtions la tranquillité de ce petit bistrot de village. Notre couple abandonnait cet endroit plein de charme pour déambuler dans cet environnement d’une autre époque.
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