samedi 12 mars 2011
ECHAPPEE NORDISTE (12 mai 2010)
Le jeudi 22 avril 2010 nous nous échappions de la « Fourmilière » en direction du nord de la France, plus précisément vers Dunkerque, distant de 280 kilomètres de notre village localisé dans l‘Oise, de bonne heure afin de déjeuner dans un restaurant, proposant une cuisine locale, situé dans cette ville. Vers 10H, nous avions effectué une charmante halte inattendue sur l’aire autoroutière appelée « La Baie de Somme » de l’A16 à 150 kilomètres de chez nous.
Sur une grande étendue d’eau, glissaient avec élégance plusieurs canards dotés de plumages de très jolies couleurs. Lors des mouvements de tête de certains la très belle teinte verte de cette partie du corps chatoyait et leurs ailes d’un bleu-violet intense donnaient l’impression d’être peintes. Nous nous extasions aussi devant leurs petits camarades dont la tête violette scintillait au soleil. Ils nous offraient un magnifique spectacle. Sans nasiller, ces palmipèdes très familiers, s’approchaient des automobilistes pour quémander gentiment du pain. Quelques éoliennes se fondaient assez bien dans le paysage malgré leur taille imposante. Après avoir pris le temps d’apprécier un café au distributeur de boissons chaudes, de regarder avec intérêt les divers articles présentés dans la boutique de la station et de nous dégourdir les jambes avec allégresse, nous avions repris la route totalement détendus et étions parvenus à destination heureux sous un soleil radieux vers 13H. Grâce à notre GPS nous nous étions rendus aisément au restaurant choisi préalablement dans le guide sur Dunkerque gentiment offert par l’Office du Tourisme lors d’une précédente visite. L’établissement se nommait « Le Vent d’Ange ». Nous avions longuement admiré le décor composé, à l’évidence, d’anges de toutes sortes. Sous chacun, nous pouvions découvrir une maxime remplie de philosophie. Au menu, nous avions dégusté en entrée une délicieuse tarte au maroilles dont l‘odeur nous chatouillait agréablement les narines avant de nous la servir, suivie d’une carbonade flamande dont le goût très subtil m’évoquait un plat de mon enfance et en dessert une tarte au sucre typique de ce coin de la France, satisfaisant tout à fait à mon incorrigible péché de gourmandise. Nous avions rejoint sans encombre l’hôtel, localisé à Armbouts Cappel situé à douze kilomètres de Dunkerque, afin d‘y déposer rapidement les bagages et de régler les formalités d‘inscription. Nous étions repartis « sur les chapeaux de roues » à l’exploration de la plage de Dunkerque.
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